Anne Klar travaille de chez elle en tant qu’artiste à plein temps, exprimant sa créativité et son sens de l’innovation à travers ses peintures sculptures tridimensionnelles uniques. Lisez la suite pour savoir comment Anne gagne sa vie en tant qu’artiste.
Parlez-nous un peu de vous et de votre parcours entrepreneurial
Il y a plusieurs années, j’ai reçu une carte de vœux qui disait : “ Construisez un rêve et le rêve vous construira”. C’est en grande partie mon histoire. Je me souviens qu’à un très jeune âge, je voulais travailler avec mes mains et être créatif. Travailler en tant qu’artiste à plein temps est comme un rêve devenu réalité. Je fais cela depuis plus de dix ans, en apprenant au fur et à mesure et en évoluant continuellement.
- En 2009, j’ai été choisie comme « Artist In Focus » par Progressives Greetings Magazine, une publication britannique spécialisée dans les cartes de vœux.
- En 2008-2010, le Groupe Pierre Belvédère, le plus grand éditeur de cartes de vœux du Canada, a sélectionné certaines de mes œuvres pour les présenter dans leur » Collection canadienne « . Mes œuvres ont été publiées et distribuées en cartes de vœux dans plus de 200 points de vente à travers le Canada.
- En 2012, j’ai été récupéré par un agent de licence d’art à Sarasota, en Floride.
- En 2012, j’ai été sélectionné parmi plusieurs designers et artistes par Hewlett Packard pour travailler sur l’un de leurs lancements de nouveaux produits. De même, mes œuvres ont été présentées dans des magazines de décoration. Mes impressions d’art (et d’autres marchandises) sont vendues à partir de mon site Web anneklar.com.
Peut-être que ce dont je suis le plus fier est l’argent que l’hôpital Princess Margaret (l’un des 5 meilleurs centres de recherche sur le cancer au monde) a collecté avec les œuvres d’art que j’ai données. L’un de mes objectifs initiaux était de voir mes œuvres générer des fonds pour une cause. Voir cela se produire a été immensément satisfaisant.
Que faisiez-vous avant de devenir un artiste à temps plein ?
Lorsque j’ai obtenu mon diplôme universitaire, j’ai rejoint Reader’s Digest Magazines Ltd, à Montréal. J’ai commencé comme assistante de rédaction et j’ai fini par travailler comme chercheuse d’art dans le département artistique. C’était un travail que j’adorais, je me disais souvent que je devrais les payer. Alors que j’étais chez Reader’s Digest, Kodak Canada m’a offert un bon poste pour diriger son service de communication d’entreprise. Mon expérience éditoriale et mes compétences photographiques faisaient de moi le bon candidat pour ce poste.
Après plusieurs années chez Kodak, j’ai fait la transition vers l’industrie de la publicité où j’ai travaillé comme chargé de compte pour une agence de publicité de recrutement. L’expérience que j’ai acquise au fil des années m’a très certainement amené là où je suis aujourd’hui.
Comment avez-vous financé votre entreprise ?
J’avais une famille qui était prête à investir en moi.
Combien d’heures travaillez-vous par semaine et combien d’heures passez-vous dans votre bureau à domicile ?
J’ai un bureau à domicile et un studio d’art. Mes heures sont les miennes et elles sont longues. Si vous devez gérer votre propre entreprise, alors c’est ce à quoi vous devez être préparé. Mes horaires varient en fonction de ce sur quoi je travaille. Dans les premières années, les journées de 13-14 heures n’étaient pas rares.
Qu’est-ce qui a été votre plus grande lutte commerciale en tant qu’artiste ?
Je devrais dire jongler avec la famille et les affaires. Cela peut être particulièrement difficile lorsque vous travaillez depuis votre domicile. Je pense que la plupart des femmes peuvent s’identifier à cela.
Quel conseil donneriez-vous à un nouvel artiste ?
Je dirais d’être patient et de garder le cap. Il faudra du temps et beaucoup de travail. Il y a un adage qui dit : « Ce qui peut être imaginé, peut être réalisé. » Si c’est quelque chose que vous voulez vraiment, alors vous pouvez y arriver. Pour devenir un entrepreneur, il faut de la ténacité, la volonté de réussir et un dynamisme herculéen.
Comment gérez-vous toutes vos activités personnelles et professionnelles ?
J’aime sincèrement ce que je fais et je me sens chanceuse d’avoir pu me tailler cette niche. Ce sentiment et cette philosophie m’aident à tout faire et à rester sur la bonne voie. Lorsque vous aimez ce que vous faites, tout est faisable.
Merci à Anne Klar d’avoir partagé son histoire !